Роман начинается со сцены на вокзале в Киншасе (Конго), где молодой полицейский ждет поезд с телом своего друга журналиста. Вместе с ним на платформе вся деревня, потому что покойника многие знали и любили. Кроме деревенских жителей на вокзале еще и некие Yankés.
Même les petits voyous, les yankés amateurs de bagarre restent tranquilles, perchés en ligne sur la barrière. (...) Le chef de gare prie la foule de s’écarter. Les yankés s’y mettent aussi, ils insultent « les moutons stupides », leur disent de dégager le chemin.
Я спросила Сильвен, кто такие yankes, и она мне ответила:
Ce n'est pas un mot français mais une expression congolaise. Au Congo, "yanké" veut dire malfaiteur, voleur. C'est pour cette raison que je précise que ce sont des amateurs de bagarre. Ils ont tendance à se faufiler dans les funérailles et à créer des problèmes.
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